Presse
« La maîtrise vocale d’Alketa CELA et son interprétation nuancée des œuvres de Giacomo Puccini témoignent d’une compréhension profonde non seulement des exigences techniques du compositeur, mais aussi de sa sensibilité dramatique.
Alketa capture l’essence des héroïnes pucciniennes : des personnages à la fois vulnérables et puissants, empreints d’une humanité déchirante.
Une mention spéciale doit être faite pour son interprétation de “Vissi d’arte” de Tosca, où elle équilibre magnifiquement la prière intime et le cri désespéré de l’âme. »
Paris 22 novembre 2024 les nocturnes de Laude, Jean-Pierre Cubizolle
PREMIÈRE LOGE « Hormis les béotiens, pas un mélomane ne se hasarderait à prétendre que le récital piano-voix est un art moins difficile que chanter sur la scène d’une grande maison lyrique dans une production scénique avec orchestre. Pour son retour devant le public parisien, Alketa Cela assume le choix exigeant d’un programme de Lieder et d’airs d’opéra accompagné au clavier par Ariane Jacob. » Nicolas Le Clerre
Paris 7 juin 2024 Bibliothèque La Grange – Fleuret, Nicolas Le Clerre
LE MONDE « La Bohème » « …la bouleversante Alketa CELA prête les traits réguliers de son visage et la beauté singulière de son timbre. Car la bonne surprise de la soirée est cette jeune chanteuse Albanaise, qui a fait ses débuts à l’Opéra de Lyon et campe une Mimi qui possède, outre la vaillance requise par la ligne Pucciniènne, une couleur tragique et des aigus solaires… » Marie-Aude Roux
CONCERTONET « Les Huguenots » « Alketa CELA, timbre somptueux, assurance de l’expression… » Philippe Herlin
Pays Sud « Madama Butterfly » 10/2011 « …Alketa Cela chante, joue et émeut avec beauté et aisance. Dès les premières notes de son entrée, son timbre nous envahit et ne nous quitte pas. Nous savons ainsi que nous allons apprécier une vraie Butterfly ! Toute la soirée on est suspendu à ses lèvres. Elle est habitée par Puccini car elle aime Puccini, cela se voit et s’entend… » Jean-Claude Meymerit
Sud Ouest « Madama Butterfly » 09/2011 « …Alketa Cela choisissant l’humilité adéquate pour une Butterfly de 15 ans. Sa voix s’élève aisément et sans grandiloquence, incarnant avec justesse la fragilité et la légèreté du papillon… » Severine Garnier
Paysud mag « (…) un rayon de soleil apparut en la personne de Alketa Cela dans le rôle de Micaëla. Ouf ! En l’écoutant on est enfin à l’opéra. Plénitude de puissance dans la voix avec beauté, phrasé, nuances et médium. C’est beau, c’est chaud, c’est puissant. Elle y croit. Elle est Micaëla. » Jean-Claude Meymerit
SudOuest « …Alketa Cela dans Micaëla est boulversante… » Celine Musseau
Le monde de la musique « …La soprano Alketa CELA possède une très belle voix et un pouvoir d’émotion qui rendent sa Mimi bouleversante… » Georges Gad.
L’Opéra International « …Alketa CELA aborde ici sa première Mimi, qu’elle rend attachante et expressive….un beau timbre de soprano lyrique et de sérieux moyens vocaux font le prix de sont interprétation… » Philippe Thanh.
ResMusica.com « Alketa Cela s’était révélée, un soir de décembre 2002 à Nancy, avec une merveilleuse Mimi, d’une beauté vocale et scénique exceptionnelle. (…) Le rôle d’Iphigénie lui pose peu de problèmes vocaux, et elle y déploie des qualités précieuses : un physique idéal, un timbre pulpeux et séduisant, une réelle adéquation stylistique. Son engagement scénique force l’admiration et sa prêtresse passionnée exerce sur nous un véritable pouvoir de fascination. (…) offre d’authentiques instants d’émotion et de beauté, et enlève avec vista les lauriers de la soirée. De cette représentation, nous garderons avant tout le souvenir d’une belle et ardente Iphigénie (…). »
Vincent Deloge
ConcertoNet …Alketa CELA, timbre somptueux, assurance de l’expression… » Philippe Herlin.
Meyerbeer Fan Club « L’héroïne du jour s’appelle Alketa Cela. L’Albanaise avait ému dans sa Mimi de La Bohème de Nancy et de Metz. Son émouvant médium a gagné en harmoniques et son registre de soprano dramatique a pris une coloration de gorge qui s’apparente au troublant voile vocal d’une Callas: une sublime Valentine de Saint-Bris dans son ultime sacrifice. » George Masson
L’Est Républicain « … parce qu’Alketa CELA a le physique de l’emploi. Elle est surtout vocalement superbe. Un timbre chaud et une émission du son sans vibrato superflu… » Didier Hemardinquer.
Concert Classic « …À Alketa CELA revient la rude tâche de chanter Valentine….elle y réussit à merveille, avec un soin raffiné de la ligne de chant, et son Duo avec Raoul au quatrième acte est un moment d’anthologie…. » Bernard Niedda.
Mittelloge.de …Seine Valentine war Alketa CELA, ohne Zweifel die Sensation des Abends, eine der phänomenalsten Stimmen seit Jahren. Die junge albanische Sopranistin besitzt eine dunkel timbrierte Stimme, ungewöhnlich flexibel, mit strahlenden Höhen, stupenden Koloraturen und subtilen Piani. Sie sieht außerdem gut aus und spielt mit großem Einsatz. Sicher eine große Karriere im Kommen.. »
« …Valentine était Alketa CELA. Sans doute la sensation de la soirée et une voix phénoménale pas entendue depuis des années. La jeune soprano Albanaise possède une voix au timbre profond, extraordinairement sombre et flexible, avec des aigus lumineux et d’étonnants piano subtils de colorature. En outre elle a une belle apparence et joue avec beaucoup d’inspiration. Sans doute une grande carrière s’ouvre à elle… ».